• Alors là, c'est le bouquet ! mon père voit sur ma clé USB un écrit qui se prénomme "mon amour" (c qui ???) et puis, mon père tombe sur Céleste, sur ses photos ! il me demande qui c'est, je rougis, je lui dis que c'est une copine, et là il me sort qu'elle ressemble à la soeur de Valérie T. ! Non mais, elle ne ressemble à personne ma puce, à personne ! ;)

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  • Mais Emeline, c'est différent. Emeline, je suis heureuse avec elle, je pleure quand on se quitte, je me lève en pensant à elle, je me couche en pensant à elle. Je lui écris toute la journée.

    je doute ensuite d'elle, de moi, je ne sais plus où j'en suis. L'amour ? l'amitié ? serais-je infidèle (moralement) ? serait-elle infidèle ? serait-elle encore amoureuse d'Aurore ? serais-je con ? faut-il me faire confiance ?

    Emeline n'est pas là, pas encore. Bientôt je serais dans ses bras et peut-être alors que je ne me poserais pas tant de questions...mais là, le soir arrive, voilà les doutes et les peurs qui reviennnent. L'inspiration fera surface et je pourrais encore ne pas dormir de la nuit. Et parler aux anges insomniaques.


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  • Les filles, je les aime...

    je m'en veux, mais ne regrette rien,

    ne regrette aucune histoire, aucune rencontre,

    je ne regretterai jamais d'aimer ces beautés.


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  • Ma prof écrit merveilleusement bien, j'ai lu quelques lignes d'elle, c'est une pure merveille, samedi, il y aura tout un atelier où il y a ses écrits, c'est un truc de dingue ! ça va me faire devenir folle ! bon, je sais que je m'enflamme bien vite, si ça se trouve, mes vieux ne voudront pas m'amener, Emeline ne sera pas avec moi (donc je serais déprimée et j'ai plus envie de de passer une autre soirée seule dans ce centre culturel de malheur !) et je vais rester chez moi à me faire chier et à faire chier le monde, jusqu'au moment, où déprimée, je voudrais prendre quelque chose qui coupe, où je ferais la connerie, et je me coucherais sur le lit pour fermer les yeux, mais je me relèverais pour recommencer, suite à ça, je panserais les plaies, je mettrais de l'alcool à 90° car je sniferais avant de m'en mettre sur les blessures puis je me mettrais à pleurer, désespérée de me voir dans cet état. Inspirée par mes bêtises, j'allumerais mon ordinateur sur le lit, et je mettrais tous les clips ou concerts de certains groupes de métal, de quoi m'énerver encore plus. Ensuite, je me coucherais sur le lit, remplie de remords, me regardant dans le miroir, en me détestant dix fois plus. J'écrirais quelques lignes bien noire, en me disant "il faut que je le mette sur mon blog" J''éteindrais mon encens car mon père crirait que ça pue, il frapperait à la porte, je lui répondrait que je dors et...ok ok j'arrête. J'irais au concert.


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  • La terre se brise à chaque pas,

    Comme chaque son d'une nouvelle chanson,

    Je n'ai d'yeux que pour pleurer,

    Je n'ai de bouche que pour crier,

     

    Il y a la terre de mes ancêtres,

    Celle qui ne fait que sécher,

    Je vois tous les éclats de verres,

    De tous ces gens en manque d'aimer,

     

    Je suis pas la seule à m'demander,

    Pourquoi la vie est un fardeau ?

    Pourquoi le vin me rend-il saoule ?

    Pourquoi s'unir puis se trahir ?

     

    Je suis pas la seule à me demander,

    Pourquoi la vie est un fardeau ?

    Pourquoi tous les jours y penser ?

    Pourquoi vouloir se suicider ?

     

    Comme chaque rythme des chansons,

    Je vois tous les grands polissons,

    De la politique jusqu'à l'amour,

    Je ne sais jamais faire confiance.

     

    Une gouttelette de sang qui descend lentement,

    Sur la terre, vient se briser calmement,

    Seulement ses amies veulent la suivre,

    Tout en se disant :

     

    Je suis pas la seule à me demander,

    Pourquoi la vie est un fardeau ?

    Pourquoi le vin me rend-il saoule ?

    Pourquoi vouloir tenter de vivre ?

     

    C'est avec embarras,

    Que je descends tous bas,

    Des cuisines jusqu'au chambre,

    Sans oser monter le ton,

    J'aperçois le ciel et mes ancêtres,

    Qui contemplent mon chef d'œuvre,

                                      Le suicide parfait, un rien imaginé.

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