• je ne m'automutilerais pas comme toutes les autres fois où l'envie de vengeance et de haine me tourmentait. Je ne ferais rien parce que je n'ai plus la force physique et morale, de me faire mal à moi.

    Je préfère pleurer et écrire des choses inutiles sur ce blog, plutôt que de devoir supporter les effroyables cicatrices lorque je prends ma douche.

    Je préfère être forte et bien, avoir des projets pour que les choses s'arrangent plutôt que de pleurer sur mon sort, telle une gamine pré-pubère.

    J'ai bien pleuré - ok - maintenant c'est à moi de prendre les choses en main et que la vie prenne une fois de plus un nouveau tournant.

    Ma marraine prépare son sac, je ne sais pas où elle va, mais elle prépare son sac. Le mien est prêt depuis ce matin pour rejoindre une gare inutilement.

    Que sait où se trouve à l'heure exacte mon parrain ? J'en ai marre de tout ça. Je suis très sensible à tous ça, d'autant plus que c'est plus qu'un oncle, c'est mon PARAIN ! Mon parain !

    Ma marraine est tout pour moi, elle sait presque tout de moi et je comprends que j'ai du mal à communiquer avec mon parrain parce qu'il est un homme. Il a des démons en lui qui le bouffe. J'aurais trop peur à sa place ; la mort le bouffe et on dit toujours qu'il va mieux. En fait, quand il va mieux c'est pour aller mal après.

    Je sais que d'ici demain, tout s'arrangera pour moi parce que dans le fond, je ne suis qu'une gamien et ma vie commence à peine. Tandis que lui devra vivre avec ça ; il vit dans son enfer d'alcool.


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  • Deux mois pile que j'ai arrêté .........., cette fois je sens que je suis sur la bonne voie. J'en suis même certaine.

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  • Automutilation : souffrir pour vivre

    Scarifications, coupures, et autres brûlures... parfois, ados et jeunes adultes se mutilent de manière intentionnelle. Et ces comportements seraient en hausse depuis quelques années. Pourquoi ce besoin de se faire mal ? Comment en sortir ? Doctissimo revient sur cette douleur à fleur de peau.

    L'automutilation est un problème sous-estimé. Pourtant, il toucherait un nombre croissant d'adolescent et de jeunes adultes, essentiellement des femmes. Plus d'un jeune sur dix serait concerné.

    Pourquoi se faire mal ?

    AutomutilationL'automutilation consiste, comme son nom l'indique, à s'infliger des blessures de manière intentionnelle. Cela passe par de petites coupures avec un rasoir ou un cutter, des brûlures, des morsures... L'ado s'impose généralement cette souffrance à l'abri des regards de son entourage, en se cachant dans sa chambre ou la salle de bain. Ces blessures pratiquées de manière répétée n'ont pas pour objet d'attirer l'attention, mais semble-t-il de permettre de contrôler ses émotions, ses angoisses, ses colères... à moins qu'il ne s'agisse d'un moyen de se réapproprier son corps. Il faut souligner une sorte de "mode" de l'automutilation - certaines stars, tel que Marilyn Manson, n'hésitant pas à se scarifier sur scène - qui n'est peut être pas sans rapport avec l'augmentation du nombre de cas.

    Anorexie, boulimie et automutilation

    Il semble y avoir des liens forts entre l'automutilation et les troubles du comportement alimentaires. Ainsi, ce besoin de se faire mal est souvent observé dans les problèmes d'anorexie. On le retrouve également dans les cas de boulimie. Cela semble logique, car troubles du comportement alimentaire et automutilation ont des causes similaires : expression d'un mal-être, volonté de maîtriser les changements de son corps... A noter, l'automutilation est également liée à l'abus d'alcool et de drogues. Mais bien sûr, il n'existe pas de règles en la matière.

    Le dialogue essentiel

    Généralement, l'automutilation s'atténue avec l'âge, et disparaît après quelques années. Mais dans quelques cas, elle peut constituer le signe annonciateur de troubles plus graves. Les parents qui découvrent ce problème ne doivent pas hésiter à orienter leur enfant vers un psychologue ou un psychiatre. L'aide d'un spécialiste aidera le jeune adulte à comprendre les raisons de son comportement. Car l'automutilation traduit un malaise profond. Et un psy peut aider à se réconcilier avec son corps, et limiter les dégâts. Mais il faut aussi que la famille repense sa relation avec celui qui s'automutile. Car ce comportement dénote d'un manque d'écoute. Il est donc essentiel de réinstaurer le dialogue et d'essayer de comprendre ses appels à l'aide qui ne disent pas leur nom..

    Alain Sousa


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  • Maladie du coeur,

    fait trembler le corps,

    suprême tristesse,

    et fièvre intense...


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  • Le soleil est là,
    mais elle n'est pas là,
    sous mes vêtements chauds,
    je regarde la haut.
    Mais elle ne vient pas,
    elle ne viendra pas,
    et mes larmes chaudes,
    celle qui sont rouges,
    se tuent doucement
    et inlassablement.
    Reviens-moi vite...

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