• bah ! journée pourrie, avec des vêtements à la con et une conduite qui ne satisfait jamais mes parents. Mais j'ai vu quelque chose de nouveau : un magasin d'habits sans cabine !

    puis tout à l'heure, j'ai dit et fait n'importe quoi (ou écrit) et je me culpabilise d'être ainsi, je suis malheureuse parfois d'agir de la sorte. ;( Je voudrais retourner en arrière mais je ne peux pas.

    alors, je ne ferais rien ce soir, je ne veux rien faire même si ça fait un mois que je suis sensée faire mes devoirs et un dossier que je dois bientôt rendre. Et surtout, je dois penser à Emeline.


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  • on est folle,

    je l'embrasse n'importe comment,

    sur le canapé, avec la bouteille,

    on se traine par terre,

    comme des bêtes féroces,

    je sens sa main qui me touche,

    je lui dis d'arrêter,

    qu'elle me fait trop d'effet,

    si ses parents nous voyaient,

     ces gens vieux et dérangés,

    ils seraient sur le coup,tués,

    moi fière et porchtron

    ma tête tombe et j'arrive pas  à la rattrapper


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  • alcool de malheur,

    tu nous meurs,

    on est peut-être bourrées,

    mais sûrement pas assez,

    qu'allons-nous faire maintenant ?

    qu'elle rigole inlassablement,

    qu'elle me prie de me donner la bouteille,

    qui se trouve entre mes jambes,

    elle me dit que je suis lourde,

    je lui dis qu'elle exagère,

    on écoute la musique,

    elle touche mon corps,

    elle défait mon soutif,

    une gorgée par ci,

    une gorgée par là,

    et toute la nuit, on va s'amuser,

    toute la nuit, elle va m'exciter,

    je vous laisse ici, je crois que j'ai des choses à faire;


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  • J'en ai marre !je sais pas ce que j'ai mais j'en ai marre !!!!!!

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  • je me plie en 4 pour réussir à trouver un moyen pour aller voir ma p'tite lyne. J'insiste avec mes parents, je prends la mobylette dans ce froid glacial, je téléphone, j'emmerde les gens et je décide de partir à la gare. Là, j'ai la poisse, je découvre que tout leur matériel informatique est en panne et qu'on ne paie pas prendre de billets. Je m'avance vers le guichet pour demander des renseignements à la dame ; sa tête de clown m'amuse, c'est toujours à elle que je m'adresse (il n'y a qu'elle qui bosse dans cette mini-gare)

    Que peut-elle pour moi ? rien, elle n'a pas les horaires des trains dans la tête. Pourtant, elle voit que je reste à espérer, je regarde toutes les affiches. Le téléphone retentit, elle s'empresse de répondre ; elle parle à une femme (je suppose vu comme elle lui parlait) Moi, j'attends toute gentille, avec un petit sourire en coin quand elle parle de moi. Elle dit "la petite" "la petite demoiselle" elle m'appelle comme ça. Elle se met à persévérer dans ses recherches, elle trouve des papiers, elle calcule, et là, elle me dit que pour demain matin, ce n'est pas possible. Je baisse la tête et je la remonte aussitôt :"et pour le soir, c'est pas possible le soir de là-bas ?" alors, elle recommence à calculer tout en discutant. Puis, elle finit par me regarder et dire "bah ! elle est roulée la p'tite demoiselle..." Je sors et je chuchote un très vilain mot. Je prends ma mobylette et je fonce dans le froid, énervée.


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